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Les adieux

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1) « J'ai fait mon devoir et je m'en vais. ». Le bureau de Nikos Kazantzakis chez lui à Antibes.

2) A l'intérieur repose son bien-aimé.

3) À l'aéroport d'Athènes. De gauche à droite : Sophoklis Venizelos, Eleni N. Kazantzakis, Spyros Theodoropoulos, Pantelis Prevelakis et Georgios Papandreou.

4) Retour dans sa ville natale. 04.11.1957.

5) Funérailles en la cathédrale métropolitaine Saint-Minas d'Héraklion. 05.11.1957.

6) Des filles du pays montent la garde devant le cercueil. Funérailles en la cathédrale métropolitaine Saint-Minas d'Héraklion. 05.11.1957.

7) La douleur de la Crète est immense. 05.11.1957.

8) Le cortège.

9) La Crète accompagne l'enfant du pays jusqu'à sa dernière demeure.

10) Ses livres, son héritage entre les mains des étudiants de l'académie pédagogique d'Héraklion, suivent leur auteur. Au premier plan, L'Odyssée, son œuvre magistrale.

11) Ses livres, son héritage entre les mains des étudiants de l'académie pédagogique d'Héraklion, remontent le bastion Martinengo avec l'écrivain. Au premier plan, L'Odyssée, son œuvre magistrale.

12) La Crète le porte à bout de bras.

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13) L'immense douleur d'Eleni.

14)« On ne confie pas de tels hommes à des fossoyeurs », s'est écrié le capitaine Manoussakas lors de l'inhumation de Nikos Kazantzakis, aidé de trois autres capitaines crétois.

15) Libations.

16) Autour de sa tombe, une garde d'honneur constituée par des enfants du pays. 05.11.1957.

17) Seul devant la tombe, un jeune Crétois, main sur le couteau crétois. (La date de naissance indiquée sur la tombe, 1881, est incorrecte. Nikos Kazantzakis est né en 1883.)

18) La tombe de Nikos Kazantzakis sur le bastion Martinengo (sur les remparts vénitiens d'Héraklion), au lendemain de ses funérailles. 06.11.1957.

19) Face à la tombe de Nikos Kazantzakis, le mont Gioutchtas, le tombeau de Zeus.

20) Dans une lettre du 12.12.1947, envoyée de Paris à son ami Börje Knös à Stockholm, Nikos Kazantzakis a écrit : « Je ne crains rien, je n'espère rien, je suis libre, c'est la phrase que je veux voir gravée sur ma tombe. »

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